Se lancer en freelance, sur le papier, ça fait rêver.
Dans la réalité, quand on sort du salariat, ça peut faire très peur.
Quand je me suis lancée, je sortais tout juste du salariat.
J’avais eu la chance d’obtenir une rupture conventionnelle, ce qui m’ouvrait des droits auprès de France Travail.
Et très honnêtement, ces droits représentaient une sécurité mentale énorme.
Je voulais travailler vite.
Mais je ne voulais pas griller mes droits inutilement, parce qu’on ne sait jamais ce qui peut arriver.
La vraie angoisse quand on se lance à son compte
Ce qui me faisait le plus peur en devenant freelance, ce n’était pas le travail.
C’était tout le reste.
- Et si je ne trouve pas de clients ?
- Et si j’en trouve peu ?
- Et une fois mes droits terminés, je fais comment ?
Quand on est indépendant classique (auto-entreprise, société…), on ne cotise pas pour ses droits France Travail.
Et cette idée-là, pour moi, était une énorme source d’angoisse.
À ça s’ajoutait :
- la gestion administrative
- la comptabilité
- les déclarations
- les erreurs possibles
Je sortais déjà d’une période compliquée, et je n’avais clairement pas l’énergie mentale pour tout gérer seule.
Le portage salarial : une solution encore trop méconnue
C’est comme ça que j’ai découvert le portage salarial.
Le principe est simple :
- vous trouvez vos clients
- vous réalisez vos missions
- une société de portage gère tout l’administratif
- et vous êtes salarié en CDI
Quand j’ai compris ça, ça a été un énorme soulagement.
Pourquoi j’ai choisi Jump (et pas une autre société de portage)
Il existe plusieurs sociétés de portage salarial.
Ce qui m’a fait choisir Jump, ce sont des critères très concrets.
Des frais fixes clairs : 99 € / mois
Contrairement à beaucoup d’acteurs du marché, Jump ne prend pas de pourcentage sur le chiffre d’affaires.
👉 Les frais sont fixes : 99 € par mois.
Quand on démarre, c’est rassurant :
- pas de surprise
- pas de frais qui explosent quand le CA augmente
- une vision très claire de ce qu’on paie
Un vrai CDI et des fiches de paie
Avec Jump, on signe :
- un CDI
- on reçoit de vraies fiches de paie
- on cotise comme un salarié
Concrètement, ça change énormément de choses :
- cotisation à l’assurance maladie
- mutuelle incluse
- cotisation à France Travail
- stabilité bancaire
👉 C’est idéal pour un prêt immobilier, ou simplement pour dormir un peu mieux la nuit.
Sécurité France Travail intégrée
Un point essentiel pour moi.
Si un jour vous souhaitez arrêter le portage avec Jump :
- vous avez une rupture conventionnelle
- vous réactivez vos droits France Travail
Dans mon cas, mon fonctionnement était simple :
- j’ai des missions → j’ai un salaire
- je n’ai pas de mission → France Travail prend le relais
👉 Cette continuité m’a permis de me lancer sans pression immédiate.
La liberté de gérer son salaire soi-même
Un autre point très important : on gère soi-même son salaire.
Exemple concret :
- j’ai 10 000 € sur mon compte Jump
- je peux décider de ne pas me verser de salaire un mois
- et de me verser 6 000 € le mois suivant
Cette souplesse permet :
- de lisser ses revenus
- d’avoir une certaine stabilité bancaire
- de s’adapter à France Travail sans stress
Lors de l’actualisation, on déclare simplement :
- le montant gagné
- la fiche de paie
👉 Si le salaire est supérieur à l’indemnisation → on ne touche rien
👉 S’il est inférieur → France Travail complète
C’est clair, fluide, et surtout sans bidouillage.
“Oui mais les charges sont élevées…”
C’est un argument que j’entends souvent.
Oui, en portage salarial, environ la moitié du chiffre d’affaires part en charges.
Mais il faut être honnête sur ce que ça recouvre :
- assurance maladie
- mutuelle
- retraite
- France Travail
- protection sociale
- assurance professionnelle
👉 Ce ne sont pas des charges “perdues”.
Ce sont des droits.
Personnellement, je préfère cotiser et être protégée, plutôt que d’économiser à court terme en prenant un risque à long terme.
Assurance incluse et simplicité côté client
Autre point très rassurant :
👉 je suis couverte par l’assurance de Jump.
Pas besoin de souscrire une assurance supplémentaire.
Côté client :
- ça ne change presque rien
- le contrat est signé avec Jump au lieu de moi
- je reste l’interlocutrice opérationnelle
Et si le client est à l’étranger ?
👉 Aucun problème. Le portage fonctionne aussi.
Support et accompagnement
Le support Jump est disponible par chat, et honnêtement :
- rapide
- clair
- efficace
Quand on débute, pouvoir poser une question sans stress, c’est précieux.
Avec le recul : pourquoi ce choix a tout changé pour moi
Le portage salarial, et Jump en particulier, m’ont permis :
- de me lancer sans paniquer
- de travailler rapidement
- de garder une sécurité sociale
- de ne pas gérer l’administratif
- de préserver mes droits
J’ai pu avancer sereinement à une période où, clairement, je n’aurais pas tenu avec une charge mentale supplémentaire.
(Le fait de ne pas m’être fait accompagner à l’époque, et de ne pas avoir assez pris le temps… ça sera pour un autre article 😉)
À qui je recommande vraiment le portage salarial (avec Jump)
✔️ Personnes dans les métiers de service
✔️ Freelances qui sortent du salariat
✔️ Profils anxieux face à l’administratif
✔️ Personnes qui veulent une sécurité sociale complète
✔️ Celles et ceux qui veulent se lancer sans filet
❌ Moins adapté si :
- vous cherchez à optimiser au maximum les charges à court terme
- vous êtes déjà très à l’aise avec la gestion d’entreprise
- vous voulez absolument créer votre structure dès le départ
- vous n’êtes pas prestataire de service
En résumé
Le portage salarial n’est pas une solution miracle.
Mais pour se lancer sans se mettre en danger, c’est, selon moi, l’une des meilleures options qui existent.
Et Jump, avec ses frais fixes, sa transparence et sa simplicité, a été de loin la meilleure solution pour moi à ce moment-là.
(lien affilié)
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